Le Président du Groupe de réflexion pour la paix en Casamance (GRPC) disculpe le Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC). Selon lui, il serait prématuré d’attribuer cette attaque au mouvement indépendantiste.
Il ne faut pas lier la tuerie de Bofa au processus de paix en Casamance". C’est ce qu’a déclaré le président du GRPC qui se prononçait suite au massacre de Bofa qui a fait 13 morts.
Sur sa lancée, l’ancien maire de Ziguinchor exhorte les uns et les autres à la prudence car le massacre pourrait aussi être causé par une autre entité : «Ce qui s’est passé, d’après mes informations, c’est qu’un comité villageois avait été institué, chargé de veiller justement à l’exploitation du bois dans cette forêt de Basse-Casamance. Les coupeurs clandestins ont été pris, leurs matériels confisqués. Les forces de sécurité ont réagi. Les membres du comité de vigilance ont été condamnés et emprisonnés», informe-t-il.
Après cet incident, explique M. Sagna, les membres du MFDC ont décidé de prendre en main la protection de la forêt. Mais, entretemps, une «une vingtaine d’individus s’est rendu dans la forêt de Bofa et ils ont rencontré une bande armée qui a sévit», indique-t-il.
Avant d’ajouter qu’il faut se garder de parler de fossoyeurs du processus de paix dans cette partie du Sénégal.
Il ne faut pas lier la tuerie de Bofa au processus de paix en Casamance". C’est ce qu’a déclaré le président du GRPC qui se prononçait suite au massacre de Bofa qui a fait 13 morts.
Sur sa lancée, l’ancien maire de Ziguinchor exhorte les uns et les autres à la prudence car le massacre pourrait aussi être causé par une autre entité : «Ce qui s’est passé, d’après mes informations, c’est qu’un comité villageois avait été institué, chargé de veiller justement à l’exploitation du bois dans cette forêt de Basse-Casamance. Les coupeurs clandestins ont été pris, leurs matériels confisqués. Les forces de sécurité ont réagi. Les membres du comité de vigilance ont été condamnés et emprisonnés», informe-t-il.
Après cet incident, explique M. Sagna, les membres du MFDC ont décidé de prendre en main la protection de la forêt. Mais, entretemps, une «une vingtaine d’individus s’est rendu dans la forêt de Bofa et ils ont rencontré une bande armée qui a sévit», indique-t-il.
Avant d’ajouter qu’il faut se garder de parler de fossoyeurs du processus de paix dans cette partie du Sénégal.