Par essence, les partis et formations politiques légalement constitués ont pour objectif la conquête du pouvoir. Par contre, depuis un moment avec l’avènement du régime du président Macky SALL, l’on assiste à la recrudescence de mouvements et structures pour ne pas dire de partis dames de compagnie ou parti de contribution, constate le quotidien " l'Évidence" dans sa parution du vendredi.
En effet, pour ces structures, ils n’en ont cure de la conquête du pouvoir. D’ailleurs, l’on se demande si ces mouvements et partis ne sont constitués que de bras cassés? En effet, ils n’ont ni siège, ni base politique, ni adhérant... Par contre, leur domaine de prédilection reste les attaques proférées à l’endroit des opposants du pouvoir, principalement de Ousmane Sonko. Ces partis qui devraient aller à la conquête d’électeurs pour masifier leur structure envisager d’aller à des élections sont loin de cette objectif. Le plus souvent c’est des conférences de presse alimentées par des pontes du pouvoir pour toujours s’en prendre à l’opposition.
L’on se demande comment d’ailleurs ils parviennent à avoir au plus vite une autorisation du ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome et ses supérieurs car le plus souvent ces leaders qui sont en mal de popularité ou manque d’argent parviennent à organiser, on ne sait comment, des conférences de presse et des réunions juste pour vouer aux gémonies des opposants. Donc l’on devrait pouvoir, pour ne serait-ce que la démocratie et sa vitalité, essayer de mettre en ordre dans ces girons des partis qui sont à plus de 400 voire 500. Mais souvent ceux qui attaquent l’opposition sont mis en avant et sont alimentés par le pouvoir pour faire des combats par procuration...
En effet, pour ces structures, ils n’en ont cure de la conquête du pouvoir. D’ailleurs, l’on se demande si ces mouvements et partis ne sont constitués que de bras cassés? En effet, ils n’ont ni siège, ni base politique, ni adhérant... Par contre, leur domaine de prédilection reste les attaques proférées à l’endroit des opposants du pouvoir, principalement de Ousmane Sonko. Ces partis qui devraient aller à la conquête d’électeurs pour masifier leur structure envisager d’aller à des élections sont loin de cette objectif. Le plus souvent c’est des conférences de presse alimentées par des pontes du pouvoir pour toujours s’en prendre à l’opposition.
L’on se demande comment d’ailleurs ils parviennent à avoir au plus vite une autorisation du ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome et ses supérieurs car le plus souvent ces leaders qui sont en mal de popularité ou manque d’argent parviennent à organiser, on ne sait comment, des conférences de presse et des réunions juste pour vouer aux gémonies des opposants. Donc l’on devrait pouvoir, pour ne serait-ce que la démocratie et sa vitalité, essayer de mettre en ordre dans ces girons des partis qui sont à plus de 400 voire 500. Mais souvent ceux qui attaquent l’opposition sont mis en avant et sont alimentés par le pouvoir pour faire des combats par procuration...