Les enquêteurs de l’ONU ont annoncé mercredi avoir des preuves suffisantes pour ouvrir une enquête sur l’implication du prince héritier Mohammed ben Salmane et autres hauts responsables saoudiens dans le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi.
Selon une rapporteuse spéciale des Nations unies, il existe des "preuves crédibles" pour ouvrir une enquête sur la responsabilité de hauts responsables saoudiens, notamment le prince héritier Mohammed ben Salmane, dans l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Elle estime que l’Arabie saoudite est responsable de son "exécution".
Après avoir elle-même enquêté pendant six mois sur la mort du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, la rapporteuse spéciale de l'ONU sur les exécutions extrajudiciaires, Agnès Callamard, a indiqué dans un rapport avoir "déterminé qu'il existe des éléments de preuve crédibles, justifiant une enquête supplémentaire sur la responsabilité individuelle des hauts responsables saoudiens, y compris celle du prince héritier".
Au terme de six mois d'enquête, Agnès Callamard, qui comme tous les autres experts indépendants de l'ONU ne parle pas au nom des Nations unies, indique que "M. Khashoggi a été la victime d'une exécution délibérée, préméditée, d'une exécution extrajudiciaire dont l'État d'Arabie saoudite est responsable en regard du droit international lié aux droits de l'Homme".
Le journaliste saoudien Jamal Khashoggi, disparu depuis le 2 octobre dernier, a été tué au consulat d'Istanbul, selon le média officiel. Riyad a diligenté une commission chargée d'enquêter sur la disparition de Jamal Khashoggi au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul.
L'Arabie saoudite a déclaré qu'une bagarre avait éclaté entre Jamal Khashoggi et les personnes qui l'ont rencontré au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul, ce qui a conduit à son décès selon Riyad.
Avec france24
Selon une rapporteuse spéciale des Nations unies, il existe des "preuves crédibles" pour ouvrir une enquête sur la responsabilité de hauts responsables saoudiens, notamment le prince héritier Mohammed ben Salmane, dans l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Elle estime que l’Arabie saoudite est responsable de son "exécution".
Après avoir elle-même enquêté pendant six mois sur la mort du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, la rapporteuse spéciale de l'ONU sur les exécutions extrajudiciaires, Agnès Callamard, a indiqué dans un rapport avoir "déterminé qu'il existe des éléments de preuve crédibles, justifiant une enquête supplémentaire sur la responsabilité individuelle des hauts responsables saoudiens, y compris celle du prince héritier".
Au terme de six mois d'enquête, Agnès Callamard, qui comme tous les autres experts indépendants de l'ONU ne parle pas au nom des Nations unies, indique que "M. Khashoggi a été la victime d'une exécution délibérée, préméditée, d'une exécution extrajudiciaire dont l'État d'Arabie saoudite est responsable en regard du droit international lié aux droits de l'Homme".
Le journaliste saoudien Jamal Khashoggi, disparu depuis le 2 octobre dernier, a été tué au consulat d'Istanbul, selon le média officiel. Riyad a diligenté une commission chargée d'enquêter sur la disparition de Jamal Khashoggi au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul.
L'Arabie saoudite a déclaré qu'une bagarre avait éclaté entre Jamal Khashoggi et les personnes qui l'ont rencontré au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul, ce qui a conduit à son décès selon Riyad.
Avec france24