Le journaliste Pape Alé Niang a bénéficié d'une liberté provisoire assortie d'un contrôle judiciaire. Une libération que la Coordination des associations de presse (CAP) considère comme une "victoire".
En effet, ces acteurs de la presse avaient engagé le combat pour la libération de leur confrère. Une veillée avait même était organisée, vendredi dernier, en plus des visites chez des familles religieuses. Ces associations de presse avaient aussi le soutien, au plan international, d'organisations comme Reporters sans Frontières et Amnesty International.
Bien que l'objectif soit atteint, la CAP ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Dans un communiqué parvenu au quotidien le Réveil, elle considère que "cette «victoire» arrachée de haute lutte par la Coordination des associations de presse, avec le soutien de ses partenaires, ne saurait être la fin de l’histoire concernant le dossier Pape Alé Niang". Le prochain combat sera ainsi "l’annulation des charges" jugées "fantaisistes" ayant valu au journaliste 60 jours de "captivité".
La CAP adresse ses vifs remerciements à tous les journalistes, techniciens et acteurs des médias sénégalais, jeunes et anciens, qui n’ont ménagé aucun effort. Malgré un contexte très difficile, ils se sont mobilisés, se sont fortement engagés dans l’affaire Pape Alé Niang pour la défense et le respect des nobles principes de la liberté de la presse et d’expression, socles de notre métier. « Mention spéciale à Reporters Sans Frontières (RSF), à la Fondation des Médias pour l’Afrique de l’Ouest (MFWA), pour leur engagement – au plan national et international – et leur soutien financier pour que notre confrère recouvre sa liberté de mouvement. Tout comme Amnesty Sénégal qui a abattu un travail de titan aussi à l’instar des autres organisations. Nos remerciements vont aussi au CPJ (Comité pour la Protection des Journalistes), à Article19, à la CENOZO (Cellule Norbert Zongo pour le journalisme d’investigation en Afrique de l’Ouest), la Coalition Sénégalaise des Défenseurs des Droits Humains (COSEDDH) dont Amnesty International Sénégal, la RADDHO, la Ligue Sénégalaise de défense des Droits Humains, Afrikajom Center, pour leur contribution efficace à l’élargissement de notre confrère. »
En effet, ces acteurs de la presse avaient engagé le combat pour la libération de leur confrère. Une veillée avait même était organisée, vendredi dernier, en plus des visites chez des familles religieuses. Ces associations de presse avaient aussi le soutien, au plan international, d'organisations comme Reporters sans Frontières et Amnesty International.
Bien que l'objectif soit atteint, la CAP ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Dans un communiqué parvenu au quotidien le Réveil, elle considère que "cette «victoire» arrachée de haute lutte par la Coordination des associations de presse, avec le soutien de ses partenaires, ne saurait être la fin de l’histoire concernant le dossier Pape Alé Niang". Le prochain combat sera ainsi "l’annulation des charges" jugées "fantaisistes" ayant valu au journaliste 60 jours de "captivité".
La CAP adresse ses vifs remerciements à tous les journalistes, techniciens et acteurs des médias sénégalais, jeunes et anciens, qui n’ont ménagé aucun effort. Malgré un contexte très difficile, ils se sont mobilisés, se sont fortement engagés dans l’affaire Pape Alé Niang pour la défense et le respect des nobles principes de la liberté de la presse et d’expression, socles de notre métier. « Mention spéciale à Reporters Sans Frontières (RSF), à la Fondation des Médias pour l’Afrique de l’Ouest (MFWA), pour leur engagement – au plan national et international – et leur soutien financier pour que notre confrère recouvre sa liberté de mouvement. Tout comme Amnesty Sénégal qui a abattu un travail de titan aussi à l’instar des autres organisations. Nos remerciements vont aussi au CPJ (Comité pour la Protection des Journalistes), à Article19, à la CENOZO (Cellule Norbert Zongo pour le journalisme d’investigation en Afrique de l’Ouest), la Coalition Sénégalaise des Défenseurs des Droits Humains (COSEDDH) dont Amnesty International Sénégal, la RADDHO, la Ligue Sénégalaise de défense des Droits Humains, Afrikajom Center, pour leur contribution efficace à l’élargissement de notre confrère. »