Après un départ canon, Leylah Annie Fernandez a laissé filer la première manche et rien ne laissait présager un changement de cap. Elle est toutefois parvenue à remporter les deux manches suivantes, sauvant cinq balles de match au passage, pour vivre un deuxième sacre à Monterrey en autant d’années.
La Québécoise de 19 ans a décroché ce deuxième titre sur le circuit de la WTA en vainquant la Colombienne Camila Osorio en trois manches de 6-7(5), 6-4, 7-6(3), dimanche.
Quel a été son secret pour venir de l’arrière?
«Honnêtement, je ne sais pas. Je me suis concentrée sur mettre la balle en jeu et je suis vraiment contente qu’elles soient rentrées au meilleur moment».
Comparativement à l’an dernier, sous le règne de la COVID-19, cette édition du tournoi s’est déroulée devant des spectateurs, au grand bonheur de la double-championne. Et ce, même si la foule a scandé le nom de son opposante «Cami! Cami! Cami!» à quelques moments clés lors du duel.
«Le titre de cette année est encore plus spécial. J’adore avoir l’énergie du public, même s’il encourage mon adversaire, a laissé tomber la Lavaloise. Entendre mon nom, entendre les cris de la foule, ça me pousse à aller plus loin.»
La Canadienne s’est imposée en 2 heures 52 minutes d’action aux dépens d’Osorio, 44e rang mondial et cinquième tête de série à Monterrey.
La Québécoise de 19 ans a décroché ce deuxième titre sur le circuit de la WTA en vainquant la Colombienne Camila Osorio en trois manches de 6-7(5), 6-4, 7-6(3), dimanche.
Quel a été son secret pour venir de l’arrière?
«Honnêtement, je ne sais pas. Je me suis concentrée sur mettre la balle en jeu et je suis vraiment contente qu’elles soient rentrées au meilleur moment».
Comparativement à l’an dernier, sous le règne de la COVID-19, cette édition du tournoi s’est déroulée devant des spectateurs, au grand bonheur de la double-championne. Et ce, même si la foule a scandé le nom de son opposante «Cami! Cami! Cami!» à quelques moments clés lors du duel.
«Le titre de cette année est encore plus spécial. J’adore avoir l’énergie du public, même s’il encourage mon adversaire, a laissé tomber la Lavaloise. Entendre mon nom, entendre les cris de la foule, ça me pousse à aller plus loin.»
La Canadienne s’est imposée en 2 heures 52 minutes d’action aux dépens d’Osorio, 44e rang mondial et cinquième tête de série à Monterrey.