Des témoignages et vidéos qui circulent sur internet font état de discriminations en Ukraine et à ses frontières avec la Pologne et la Hongrie. Des étudiants africains, arabes ou indiens notamment et qui vivent en Ukraine disent avoir des difficultés à quitter le pays, là où les Ukrainiens blancs en ont moins.
Une crise dans la crise. Depuis le début de l’invasion russe, des centaines de milliers d’Ukrainiens ont été poussés sur les routes, cherchant à fuir un pays désormais en guerre pour se mettre en sécurité loin de chez eux. Mais ils ne sont pas les seuls à chercher à quitter le pays: de nombreux expatriés ou étudiants veulent les imiter, avec des dérives terribles.
Ainsi, ces derniers jours, de nombreux Africains et Moyen-Orientaux ont dénoncé le racisme dont ils font l’objet au moment de tenter de franchir une frontière pour sortir d’Ukraine. Nigérians, Marocains, Congolais ou Irakiens, tous racontent un système de filtrage aux frontières, qui permet aux femmes et aux enfants ukrainiens de quitter le pays, mais pas à eux, coincés devant la frontière.
Plusieurs ressortissants africains ont notamment raconté avoir été empêchés de monter dans des trains et des bus quittant le territoire ukrainien, alors même que les locaux les empruntaient. Des mauvais traitements qu’a reconnus Dmytro Kuleba, le ministre des Affaires étrangères ukrainien, ce mardi 1er mars.
Une crise dans la crise. Depuis le début de l’invasion russe, des centaines de milliers d’Ukrainiens ont été poussés sur les routes, cherchant à fuir un pays désormais en guerre pour se mettre en sécurité loin de chez eux. Mais ils ne sont pas les seuls à chercher à quitter le pays: de nombreux expatriés ou étudiants veulent les imiter, avec des dérives terribles.
Ainsi, ces derniers jours, de nombreux Africains et Moyen-Orientaux ont dénoncé le racisme dont ils font l’objet au moment de tenter de franchir une frontière pour sortir d’Ukraine. Nigérians, Marocains, Congolais ou Irakiens, tous racontent un système de filtrage aux frontières, qui permet aux femmes et aux enfants ukrainiens de quitter le pays, mais pas à eux, coincés devant la frontière.
Plusieurs ressortissants africains ont notamment raconté avoir été empêchés de monter dans des trains et des bus quittant le territoire ukrainien, alors même que les locaux les empruntaient. Des mauvais traitements qu’a reconnus Dmytro Kuleba, le ministre des Affaires étrangères ukrainien, ce mardi 1er mars.