Selon un communiqué envoyé à la redaction centrale du site en ligne exclusif.net, l'Etat burkinabè doit 44 mois à Blaise Compaore au titre des indemnités compensatrices octroyées aux anciens chefs d'Etat.
En réalité aux termes du décret N°2002-587/PRES/PM du 18 décembre 2002, les anciens chefs d'Etat bénéficient d'avantages et privilèges, tel qu’il est inscrit dans la Constitution. Entre autres avantages, ils bénéficient d'une indemnité compensatrice forfaitaire, fixée à cinq cent mille (500 000) francs CFA par mois. L'ancien Président Blaise COMPAORE a quitté le pouvoir il y a de cela 44 mois donc l'Etat lui doit 22 millions pour les indemnités compensatrices.
"Cette somme, même si elle n'est pas réclamée aujourd'hui, constitue un droit qu'il faudra tôt ou tard liquider. Si ces avantages et privilèges sont servis à un ancien chef d'Etat transitionnaire ce n'est pas à celui qui a fondamentalement façonné le pays qu'on ne devrait pas servir", dénonce un proche de Blaise dans un communiqué.
Il prévient que "le compteur tourne seulement et continuera à tourner pour renflouer le compte de l'ancien Président le moment venu."
En réalité aux termes du décret N°2002-587/PRES/PM du 18 décembre 2002, les anciens chefs d'Etat bénéficient d'avantages et privilèges, tel qu’il est inscrit dans la Constitution. Entre autres avantages, ils bénéficient d'une indemnité compensatrice forfaitaire, fixée à cinq cent mille (500 000) francs CFA par mois. L'ancien Président Blaise COMPAORE a quitté le pouvoir il y a de cela 44 mois donc l'Etat lui doit 22 millions pour les indemnités compensatrices.
"Cette somme, même si elle n'est pas réclamée aujourd'hui, constitue un droit qu'il faudra tôt ou tard liquider. Si ces avantages et privilèges sont servis à un ancien chef d'Etat transitionnaire ce n'est pas à celui qui a fondamentalement façonné le pays qu'on ne devrait pas servir", dénonce un proche de Blaise dans un communiqué.
Il prévient que "le compteur tourne seulement et continuera à tourner pour renflouer le compte de l'ancien Président le moment venu."