Une vive tension ce lundi à Bangui où quatre légionnaires français et 6 Snipers ont été arrétés. Ces jeunes gens auraient tenté d'assassiner le président Centrafricain Touadera Faustin-Archange à l'aéroport de Bangui-Mpoko. Ils sont tous aux mains des services de sécurité centrafricains .
La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine a rejeté les accusations d’atteinte à la sûreté de l’État qui ont suivi l’arrestation. En effet, selon la mission Onusienne, ces derniers venaient d’accompagner le Chef d’état-major en partance pour la France.
Selon le communiqué de l'Ambassade de France en République Centrafricaine parcouru par exclusif.net, l'équipe de protection rapprochée du général Marchenoir, chef d'état-major de la Force de la Minusca, composée de quatre militaires français, a été arrêtée cet après-midi à l'aéroport de Bangui. Ces quatre officiers de sécurité escortaient le Chef d'état-major de la Force de la Minusca pour prendre le vol Air France, avec leur équipement professionnel. L'ambassade de France regrette vivement cet incident. Elle condamne son instrumentalisation immédiate sur certains réseaux malveillants et la désinformation grossière à laquelle elle donne lieu."
La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine a rejeté les accusations d’atteinte à la sûreté de l’État qui ont suivi l’arrestation. En effet, selon la mission Onusienne, ces derniers venaient d’accompagner le Chef d’état-major en partance pour la France.
Selon le communiqué de l'Ambassade de France en République Centrafricaine parcouru par exclusif.net, l'équipe de protection rapprochée du général Marchenoir, chef d'état-major de la Force de la Minusca, composée de quatre militaires français, a été arrêtée cet après-midi à l'aéroport de Bangui. Ces quatre officiers de sécurité escortaient le Chef d'état-major de la Force de la Minusca pour prendre le vol Air France, avec leur équipement professionnel. L'ambassade de France regrette vivement cet incident. Elle condamne son instrumentalisation immédiate sur certains réseaux malveillants et la désinformation grossière à laquelle elle donne lieu."