Un violent incendie continuait de ravager dimanche 2 janvier au soir le parlement sud-africain au Cap, et la police, qui privilégie la piste criminelle, a arrêté un homme de 51 ans qui va être présenté à la justice. Depuis de longues heures, les pompiers luttent contre le feu qui ravage le vaste bâtiment victorien à la façade blanche et en briques rouges.
"Un homme a été arrêté à l'intérieur du Parlement, il est toujours interrogé dans le cadre d'une enquête criminelle. Il comparaîtra devant la justice mardi", a déclaré à l'AFP Thandi Mbambo, porte-parole de l'unité d'élite de la police sud-africaine, les Hawks.
Aucune victime n'a été signalée, mais l'enceinte de l'Assemblée nationale dans l'aile la plus récente de l'édifice, a été entièrement détruite. "La chambre où les membres siègent a entièrement brûlé", a déclaré à l'AFP son porte-parole, Moloto Mothapo, précisant que selon les premières constations, "le feu s'est déclenché dans deux foyers de deux parties distinctes du Parlement".
"Il semblerait que le système d'extinction automatique n'ait pas fonctionné comme il est censé le faire", a également déclaré à la presse le président Cyril Ramaphosa qui s'est rendu sur place. "Le travail du Parlement se poursuivra", a toutefois martelé le chef de l'État qui devait prononcer dans son enceinte un discours à la Nation en février.
Le feu a démarré vers 5 h (3 h GMT) dans l'aile la plus ancienne de l'édifice achevée en 1884, aux salles recouvertes de bois précieux et où siégeaient auparavant les parlementaires. Une partie du toit s'est effondrée.
"Le toit de l'ancien bâtiment abritant l'Assemblée nationale s'est effondré, il n'en reste rien", a déclaré à la presse le responsable des services de sécurité et de secours de la Ville, Jean-Pierre Smith. "L'ensemble a subi d'importants dégâts provoqués par la fumée et l'eau", a-t-il ajouté.
"Un homme a été arrêté à l'intérieur du Parlement, il est toujours interrogé dans le cadre d'une enquête criminelle. Il comparaîtra devant la justice mardi", a déclaré à l'AFP Thandi Mbambo, porte-parole de l'unité d'élite de la police sud-africaine, les Hawks.
Aucune victime n'a été signalée, mais l'enceinte de l'Assemblée nationale dans l'aile la plus récente de l'édifice, a été entièrement détruite. "La chambre où les membres siègent a entièrement brûlé", a déclaré à l'AFP son porte-parole, Moloto Mothapo, précisant que selon les premières constations, "le feu s'est déclenché dans deux foyers de deux parties distinctes du Parlement".
"Il semblerait que le système d'extinction automatique n'ait pas fonctionné comme il est censé le faire", a également déclaré à la presse le président Cyril Ramaphosa qui s'est rendu sur place. "Le travail du Parlement se poursuivra", a toutefois martelé le chef de l'État qui devait prononcer dans son enceinte un discours à la Nation en février.
Le feu a démarré vers 5 h (3 h GMT) dans l'aile la plus ancienne de l'édifice achevée en 1884, aux salles recouvertes de bois précieux et où siégeaient auparavant les parlementaires. Une partie du toit s'est effondrée.
"Le toit de l'ancien bâtiment abritant l'Assemblée nationale s'est effondré, il n'en reste rien", a déclaré à la presse le responsable des services de sécurité et de secours de la Ville, Jean-Pierre Smith. "L'ensemble a subi d'importants dégâts provoqués par la fumée et l'eau", a-t-il ajouté.