Le Réseau des Entreprises du Secteur des TIC (RESTIC) exprime son vif regret et sa condamnation solennelle à l'égard du manque d'élégance républicaine et du déficit de gouvernance observés lors de l'atelier de lancement du projet de Radio Numérique Terrestre (RNT) à l'Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP).
Le projet de RNT, jugé dépassé dans un contexte où le dividende numérique et l'essor digital sont de mise, ainsi que la prolifération croissante de l'internet mobile et fixe au Sénégal, soulignent l'inadéquation de cette initiative. Le RESTIC déplore le fait que cet atelier ait été lancé sans même inviter les nouveaux directeurs généraux récemment nommés pour l'ARTP et TDS, en contradiction avec les principes de continuité des services.
Cette attitude est perçue comme grave, inélégante et fractionniste. Le RESTIC en appelle au Ministère de l'Économie Numérique et de la Communication pour tirer toutes les conséquences de cette situation, qui est juridiquement condamnable.
Les directeurs généraux sortants de l'ARTP sont exhortés à finaliser leurs dossiers de passation, à impliquer leurs secrétaires généraux respectifs, et à passer rapidement le témoin. Le RESTIC souligne que leur mandat s'est caractérisé par des interruptions d'internet plutôt que par la promotion de son utilisation.
Le RESTIC demande des éclaircissements sur les conditions floues de la cession à bas prix d'une licence 5G à Free, ainsi que sur la gestion des fonds issus des licences mobiles et des ressources humaines, notamment en ce qui concerne les embauchages politiques.
Enfin, le RESTIC implore le Premier Ministre de mettre en place rapidement les nouvelles équipes dirigeantes à l'ARTP et à TDS pour la mise en œuvre d'une feuille de route ambitieuse sur le digital et le numérique, accompagnée d'une régulation appropriée. Il demande également au Président de la République et à son Premier Ministre de compenser l'entreprise KOPPAR Express, qui a été persécutée et mise au bord de la faillite par le régime sortant.
Le projet de RNT, jugé dépassé dans un contexte où le dividende numérique et l'essor digital sont de mise, ainsi que la prolifération croissante de l'internet mobile et fixe au Sénégal, soulignent l'inadéquation de cette initiative. Le RESTIC déplore le fait que cet atelier ait été lancé sans même inviter les nouveaux directeurs généraux récemment nommés pour l'ARTP et TDS, en contradiction avec les principes de continuité des services.
Cette attitude est perçue comme grave, inélégante et fractionniste. Le RESTIC en appelle au Ministère de l'Économie Numérique et de la Communication pour tirer toutes les conséquences de cette situation, qui est juridiquement condamnable.
Les directeurs généraux sortants de l'ARTP sont exhortés à finaliser leurs dossiers de passation, à impliquer leurs secrétaires généraux respectifs, et à passer rapidement le témoin. Le RESTIC souligne que leur mandat s'est caractérisé par des interruptions d'internet plutôt que par la promotion de son utilisation.
Le RESTIC demande des éclaircissements sur les conditions floues de la cession à bas prix d'une licence 5G à Free, ainsi que sur la gestion des fonds issus des licences mobiles et des ressources humaines, notamment en ce qui concerne les embauchages politiques.
Enfin, le RESTIC implore le Premier Ministre de mettre en place rapidement les nouvelles équipes dirigeantes à l'ARTP et à TDS pour la mise en œuvre d'une feuille de route ambitieuse sur le digital et le numérique, accompagnée d'une régulation appropriée. Il demande également au Président de la République et à son Premier Ministre de compenser l'entreprise KOPPAR Express, qui a été persécutée et mise au bord de la faillite par le régime sortant.