L’affaire Adji Sarr commence à se dégonfler comme un ballon de baudruche. Après la sortie de Ousmane Sonko dévoilant une enquête interne de la gendarmerie qui met à nu le « complot », des voix se sont levées pour démasquer la masseuse qui accuse le leader de Pastef de viols.
C’est d’abord Kaliphone Sall, l’un des plus grands pourfendeurs de Ousmane Sonko de délier sa langue. Il a carrément retourné sa veste dans l’affaire Adji Sarr-Sonko. « L’insulteur public » prétend que « Adji Sarr n’a aucune vidéo compromettante qui pourrait incriminer le leader de Pastef ». « Elle ment dangereusement, tranche-t-il. Elle berce d’illusions ceux qui la croient alors qu’il n’y a jamais eu ni vidéo ni photos. Elle espérait même faire recours à quelques photos montées vues sur le net ». L’on se rappelle que, lors de son affaire l’opposant à Adja Thiaré Diaw, Kaliphone avait menacé Gabrielle Kane, la tutrice de Adji Sarr, de faire des révélations et avait fait part du des bisbilles entre les deux femmes.
Le patron d’Africa Jom Center, Alioune Tine, lui aussi, en rajoute une couche. L’ex-boss de la Raddho reste convaincu que le dossier Adji Sarr-Sonko (la masseuse qui accuse le leader de Pastef de viol et menace de mort) est une « affaire d’Etat ». Invité de l’émission, Grand Jury de la Rfm, l’ex-président de la Rencontre africaine pour la défense des Droits de l’homme (Raddho), estime : « Depuis le début de cette affaire, j’avais dit que c’était une affaire d’Etat. Je pense qu’il y avait une certaine maladresse dès le début à traiter le dossier ».
« Dès le début alors qu’il était encore député, il y a eu une force qu’on a mise, il y a eu des tensions ; après on a levé le pied. Ça, c’était une erreur. J’ai l'impression qu'ils ont compris aussi. Puis, nous avons besoin de savoir la vérité sur cette affaire. Lui-même a intérêt à ce que la vérité éclate pour sa propre crédibilité et les ambitions qu’il nourrit pour le Sénégal », a ajouté Alioune Tine. De son avis, « ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui, au nom de la séparation des pouvoirs, quand ils sont membres du gouvernement ne doivent pas s’exprimer sur cette affaire. C’est comme cela que ça se passe la séparation des pouvoirs : exécutif et judiciaire ».
C’est d’abord Kaliphone Sall, l’un des plus grands pourfendeurs de Ousmane Sonko de délier sa langue. Il a carrément retourné sa veste dans l’affaire Adji Sarr-Sonko. « L’insulteur public » prétend que « Adji Sarr n’a aucune vidéo compromettante qui pourrait incriminer le leader de Pastef ». « Elle ment dangereusement, tranche-t-il. Elle berce d’illusions ceux qui la croient alors qu’il n’y a jamais eu ni vidéo ni photos. Elle espérait même faire recours à quelques photos montées vues sur le net ». L’on se rappelle que, lors de son affaire l’opposant à Adja Thiaré Diaw, Kaliphone avait menacé Gabrielle Kane, la tutrice de Adji Sarr, de faire des révélations et avait fait part du des bisbilles entre les deux femmes.
Le patron d’Africa Jom Center, Alioune Tine, lui aussi, en rajoute une couche. L’ex-boss de la Raddho reste convaincu que le dossier Adji Sarr-Sonko (la masseuse qui accuse le leader de Pastef de viol et menace de mort) est une « affaire d’Etat ». Invité de l’émission, Grand Jury de la Rfm, l’ex-président de la Rencontre africaine pour la défense des Droits de l’homme (Raddho), estime : « Depuis le début de cette affaire, j’avais dit que c’était une affaire d’Etat. Je pense qu’il y avait une certaine maladresse dès le début à traiter le dossier ».
« Dès le début alors qu’il était encore député, il y a eu une force qu’on a mise, il y a eu des tensions ; après on a levé le pied. Ça, c’était une erreur. J’ai l'impression qu'ils ont compris aussi. Puis, nous avons besoin de savoir la vérité sur cette affaire. Lui-même a intérêt à ce que la vérité éclate pour sa propre crédibilité et les ambitions qu’il nourrit pour le Sénégal », a ajouté Alioune Tine. De son avis, « ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui, au nom de la séparation des pouvoirs, quand ils sont membres du gouvernement ne doivent pas s’exprimer sur cette affaire. C’est comme cela que ça se passe la séparation des pouvoirs : exécutif et judiciaire ».